
Réflexion dun exilé de luniversité
lévidence des faits, je maperçois quil existe un certain rapport de jouissance dans la perte denthousiasme causé chez celui ou celle quon méprise. À cet exercice cognitif maspire la pensée suivante, les cours universitaires et les rapports sy écoulant en sont de ceux qui ressemblent au désir sexuel des pervers. Allant y rechercher des émotions fortes, certains dentre vous, tout comme moi, se masturbe le cerveau. Certains y font un exercice de style, renouvelant la prise de lobjet à des fins dy maximiser leffet de profit. Une masturbation, saffranchissant de sa cage sociale, qui mène son troupeau vers le rendurcissement de son identité : celui dêtre le partenaire des uns et des autres et ce en lui crachant au visage. « Suis-je à laise à me suicider socialement? Oui.» À mon exil de votre enclos, je maperçois que mes frustrations se sont évincés. Dautre part, jy vois que certains y vont dune complaisance terrible à lenchaînement de leurs âmes au tronc du corps professoral. Le savoir cest comme largent, plus vous en avez et plus vous voulez en avoir pour le faire profiter. À ce regard dans labîme, jy vois un reflet qui me dégoûte. Derrière moi, y sont ceux que jai côtoyés et qui dans le post-succès des grandes épreuves en viennent à se trahir. À savoir que lorsquil ny a plus dennemi, cette haine se retourne contre soi. Fruit des anti-révolutions, quil sagit de combattre lhypocrisie des uns, les autres deviennent ces mêmes hypocrites. Une auto-satisfaction sexué, car le sexe est en soi plus fort que lorsque intime.
Il a agi avec bravoure.
Posted by Hello
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